Louange & prière – Volume 462
Lundi matin, mon cœur était rempli d’émotions différentes : de la tristesse, alors que je regardais les funérailles d’un serviteur dévoué de Dieu – Rod Tenorio – décédé deux semaines après avoir prêché à l’église baptiste Bethel à Saint-Laurent et la joie en lisant l’histoire suivante :
« Un roi africain avait un ami de longue date qui regardait toujours tout positivement, disant toujours ‘ c’est bien! ’, même face aux situations les plus difficiles. Durant un jour de chasse, il préparait les fusils du roi. Quand le roi a tiré pour la première fois, son pouce s’est envolé. Bien que l’ami se soit rendu compte que c’était une grave erreur de ne pas avoir correctement mis l’arme à feu, et même devant ce roi furieux et en sang, il l’a regardé et a dit : ‘ c’est bien! ’ Le roi était LIVIDE et a ordonné que son ami soit jeté en prison immédiatement.
Un an plus tard, le roi chassait dans une zone où il aurait dû rester à l’écart et fut soudainement capturé par des cannibales. Ils l’ont ligoté et se préparaient à le cuisiner lorsqu’ils ont réalisé qu’il n’avait pas de pouce. Ils ne mangent personne qui sont moins qu’entier ; alors ils l’ont libéré. En rentrant chez lui, le roi réfléchit à l’événement qui avait pris son pouce en premier lieu. Il est allé directement à la prison, a raconté à son ami ce qui s’était passé et s’est excusé en larmes de l’avoir envoyé en prison comme il l’avait fait. Son ami enthousiaste a regardé le roi et a répondu : ‘ c’est bien! ’
Le roi, pris au dépourvu, a de nouveau dit : ‘ Que voulez-vous dire par ‘ c’est bien! ’ ? ’ Je vous ai envoyé sans pitié en prison et vous souffrez ici depuis un an, comment est-ce bien ? Son ami a répondu sans hésiter : ‘ Eh bien, si je n’avais pas été en prison, j’aurais été avec vous! ’ »
Dans son message radiophonique d’aujourd’hui, le Dr David Jeremiah raconte l’histoire d’un homme écossais qui a vécu au 19e siècle. Il a fait un disque (basé sur ce qu’il a lu dans un livre) qui pesait presque quatre fois plus que celui utilisé dans les compétitions et s’est entraîné dans le but d’atteindre la distance du record actuel. Lorsqu’il a participé à sa première compétition en Angleterre, le disque lui semblait comme une soucoupe à thé et il a établi un nouveau record. Cette histoire est apparue dans un livre écrit par Brent Curtis et John Eldredge, qui résumaient les prouesses de l’athlète avec cette phrase : « Entraînez-vous sous un grand fardeau. » Vous pouvez écouter ce message (en anglais) à : https://www.davidjeremiah.org/radio/player?id=3468.
Vous traversez une période difficile en ce moment ? Le Seigneur Jésus a pleuré en apprenant que son ami Lazare était mort (voir Jean 11:35), mais il n’est pas resté triste longtemps. Il est allé au tombeau où se trouvait le corps de Lazare et, après avoir remercié son Père de l’avoir entendu, Jésus a crié : « Lazare, sors! » Après que son ami soit sorti du sépulcre, enveloppé d’un linge, Jésus a dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. » Dans son commentaire sur ce miracle, le Dr Jeremiah écrit : « Jésus accomplirait le miracle, mais il voulait que quelqu’un ôte la pierre, démontrant que l’obéissance humaine a souvent une place dans son œuvre surnaturelle. En parlant de Jésus aux autres, le chrétien peut avoir besoin de rouler la pierre de l’ignorance, de l’erreur, des préjugés ou du désespoir. Mais c’est toujours Dieu – et non l’efficacité du témoignage d’une personne – qui ‘ ressuscite les morts ’ ».
Écriture pour le week-end : Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? Jean 11:25-26 (LSG)
Pensée pour le week-end : « Il a été dit que rien ne dissipe un mensonge plus vite que la vérité ; rien n’expose la contrefaçon plus rapidement que l’authentique. Les faux dollars intelligents peuvent passer inaperçus à un œil non averti. Ce que tout contrefacteur craint, c’est que quelqu’un examine son faux billet tout en tenant un authentique à côté. La présence de Jésus représentait la présence de l’authentique au milieu du faux. Ici la sainteté authentique est apparue ; les contrefacteurs de la sainteté n’étaient pas contents. » – Dr R. C. Sproul (extrait de son livre « The Holiness of God », publié par Tyndale House Publishers, Inc., Carol Stream, IL)
Steve Frank