La Voix de l'Évangile

La semaine dernière, j’ai commencé à lire un livre de Keith Price intitulé « Assoiffé de Dieu ». Ce livre contient les aperçus d’un homme qui a consacré sa vie à étudier les Écritures et à enseigner sa Parole. Quelques mois après avoir fait confiance à Christ comme mon Sauveur en janvier 1973, je me suis porté volontaire au pavillon « Sermons de la science », qui est resté ouvert pour plusieurs années après la tenue de l’exposition universelle Expo ‘67, à Montréal. Un de mes souvenirs de cet été était ma rencontre avec Keith Price, qui avait un sourire contagieux et un enthousiasme pour l’œuvre du Seigneur. Des années plus tard, j’apprendrais que le père de Karen avait utilisé l’adresse du frère Price pour expédier leurs effets personnels de la France lorsqu’ils se sont rendus à Montréal en avril 1971 pour commencer un nouveau chapitre de leur service missionnaire.

La première partie de ce livre inspirant porte sur le Psaume 63 et comprend ce qui suit : « Dieu crée la soif. Nous devons la cultiver. Lorsque je réponds, Dieu trouve un moyen de m’encourager, souvent par le biais de personnes ou de circonstances spéciales. Dieu me commande d’être rempli de son Esprit, ce qui signifie que c’est à moi de prendre le pas suivant. Il y répondra ensuite ». Plutôt ce mois-ci, Jerad Mellette, pasteur des jeunes à l’église « Grace Church Verdun », a prêché le Psaume 61, tandis que son frère Brad, pasteur principal, était en mission au Népal. Quand j’ai commencé à lire « Assoiffée de Dieu » et prit connaissance qu’il contenait une étude détaillée du Psaume 63, j’ai compris que le Seigneur m’impressionnait les perles spirituelles contenues dans le livre des Psaumes.

Alors que pelleter de la neige et affronter le froid semblent éloignés de prendre soin des brebis et de vivre dans le désert, nous voyons dans les Psaumes que le Seigneur fournissait tout ce dont David et des autres en Israël avaient besoin, comme il le fait aujourd’hui pour ses enfants. Bien que les tempêtes de la vie menacent de nous submerger, nous savons que le Seigneur est une tour forte, dans laquelle nous pouvons nous réfugier, comme l’a écrit Martin Luther.

Écriture du week-end : « Car tu es pour moi un refuge, une tour forte, en face de l’ennemi. Je voudrais séjourner éternellement dans ta tente, me réfugier à l’abri de tes ailes. » Psaume 61:3-4 (LSG)

Dans sa grâce,

Steve Frank